J'entends un bruit de moto. Le commandant Santucci arrive en éclaireur. Tel que je le connais, il a dû sauter dans son pantalon sans même boire une tasse de café. Je le vois avancer à grand pas dans la montée. Plus il vieillit, plus il me plaît avec cet air perpétuellement soucieux et concentré, et cette ride du lion qui se creuse au fil du temps.