Une relation de violence, ce n'est pas une relation de conflit, c'est d'un autre registre, celui de l'emprise. Cela s'installe lentement mais sûrement, avec le temps. Cela commence par un "déséquilibre" des forces en présence. L'un prend l'ascendant sur l'autre.
(...) Mon point de vue est devenu "féministe", c'est à dire un point de vue qui fait de la violence des femmes un problème sexiste : c'est de la violence envers les femmes parce qu'elles sont des femmes.