Rarement une femme aura été autant désirée par Sand que Pauline. Elle incarne à ses yeux la musique, le chant, un corps possédé, envahi par lui, un corps fait voix. Une vie vouée à l'art le plus sensible, à la fois sensuel et spirituel (...)
Sand percevait des réminiscences de sa propre vie, des échos de son propre coeur, du bonheur qu'elle avait éprouvé dans Nohant libéré de Casimir, "la maison déserte", où elle s'était retrouvée, femme libre à jamais. Pauline était une autre elle-même.