Citations de Mickaël Feugray (32)
"(...) Franchement, mon pote, pourquoi ne rêver qu’endormi ? L’actualité, c’est bon pour les époques. On est au dessus des époques bordel ! L’art, ça dépasse les siècles. (...)"
Mickaël Feugray, Macadam Fortune.
"(...) Quelle colère nourrissait l’inventeur des œufs en neige pour ainsi s’échiner sur cette glue translucide ? (...)"
Mickaël Feugray, Bleu nuit.
"(...) Vivette ne s’épanche en lapalissades, elle laisse cela aux peintres du dimanche. Si elle peut s’épargner l’usage de la salive, c’est toujours ça de gagné sur l’économie de ses capacités énergétiques. C’est que Vivette Cépadon est de constitution chétive et d’obédience anorexique. Chaque geste compte. (...)"
Mickaël Feugray, Bleu nuit.
"(...) J’ai jamais croisé une nénette comme ça. De la dégueulasserie pure. Du rock sauvage. Une hyène dans un clapier. Elle fait pas rock pour un rond. Elle l’est. Insensée. Sans mesure. Sans calcul. Ça fuse. Et ça atteint toujours une cible, peu importe les dommages. Les mecs sont plus soft. (...)"
Mickaël Feugray, Macadam Fortune.
(...) Ça ne rime à rien, c’est comme manger les pissenlits par la racine alors qu’on n’est ni une taupe ni un lapin ! Ou comme ces ours polaires qui crèvent de faim alors qu’ils ont des carottes glacières à disposition ! (...)
Mickaël Feugray, Un rien au-dessus des pâquerettes.
(...) le gars a bien compris que les chips ne sont qu’une manière déguisée de vous faire avaler de la patate. Les gens n’aiment pas trop les légumes par les temps qui courent, peut-être que si ils couraient plus — les gens — et qu’en contrepartie ils couraient moins — les temps — tout le monde vivrait l’instant présent et les légumes ne seraient plus la dernière roue du carrosse de la cuisine… (...)
Mickaël Feugray, Un rien au-dessus des pâquerettes.
"(...) Si le hasard fait bien les choses en temps normal, il arrive parfois qu’on se demande ce qu’il fait de ses dix doigts pour pondre de tels gus. (...)"
Mickaël Feugray, Un rien au-dessus des pâquerettes.
(...) Ça ne rime à rien, c’est comme manger les pissenlits par la racine alors qu’on n’est ni une taupe ni un lapin ! Ou comme ces ours polaires qui crèvent de faim alors qu’ils ont des carottes glacières à disposition ! (...)
" Un rien au-dessus des pâquerettes " de Mickaël Feugray, in Niveau(x), Jacques Flament éditions.
(...) le gars a bien compris que les chips ne sont qu’une manière déguisée de vous faire avaler de la patate. Les gens n’aiment pas trop les légumes par les temps qui courent, peut-être que si ils couraient plus — les gens — et qu’en contrepartie ils couraient moins — les temps — tout le monde vivrait l’instant présent et les légumes ne seraient plus la dernière roue du carrosse de la cuisine… (...)
" Un rien au-dessus des pâquerettes " de Mickaël Feugray, in Niveau(x), Jacques Flament éditions.
Ah. Ma tante. La sœur de mon père. Même pas capable de lui survivre plus d'un an. Un toc de famille - la mort - chez nous. On préfère imiter les cadavres que les vivants, on sait tellement peu exister.
" Cambrousse Punk " de Mickael Feugray, in ' Anthologie Maisons Hantées ' aux éditions Luciférines.
Autant offrir une partoche à un punk.
" Cambrousse Punk " de Mickael Feugray, in ' Anthologie Maisons Hantées ' aux éditions Luciférines.
L’avenir pour nous, c’est se défaire du passé. Qu’est-ce que je vais aimer vous oublier — les crasseux — vous pouvez pas savoir !
" Cambrousse Punk " de Mickael Feugray, in ' Anthologie Maisons Hantées ' aux éditions Luciférines.