« Sans les réfugiés , nous aurions cédé à la paresse de nous laisser aller , de jeter l’éponge . Plus maintenant. Nous aurions au moins une bonne raison de vivre : nous rendre utiles à ceux qui avaient eu encore moins de chance que nous . Mais que pouvions - nous faire?
Nous avons un dicton , nous les Sardes : « Commence par sauver les brebis, tu penseras au reste plus tard » …..
« La première brebis avait été le Potager, la deuxième fut le Verger intérieur de la Ruine , où cet hiver - là mûrirent à nouveau des oranges, des mandarines et des citrons , tandis qu’au pied du mur , le romarin se remettait à pousser . »