5. « Je me demande si l'heure n'est pas venue de nous émanciper de la primauté de la connaissance par l'intelligence, par le pur esprit ; si nous ne devons pas tenter d'accéder à une connaissance globale, organique, fournie par nos passions, nos enthousiasmes, nos péchés, notre sommeil. Que peuvent encore nous apprendre l'intelligence et la raison ? Des vérités de plus en plus abstraites (telle la physique moderne), de plus en plus symboliques, de plus en plus éloignées de l'homme et de la vie. C'est un sentier battu, trop battu. » (p. 187)