Guillaume de La Broce se glissa au milieu des éventaires qui ruisselaient de soieries, de camelins, de passementeries, de dentelles, de broderies, auxquelles, au bout de perches enroulées de rubans, s'ajoutaient des petits bijoux de parure, des ceintures ornées de cabochons de pierres fines, des fermaux ou des coiffes. Les volubiles accents italiens se mélangeaient à ceux, plus rugueux, des Flandres et à cette gouaille à nulle autre pareille des Parisiens.