Mais il est vrai que la plus rare offrande est celle que tu mets à jour dans mes profondeurs. La permission d'être moi-même. Le loisir de vivre. Tu m'évides comme on fait d'une branche pour en façonner une flûte, et tu polis ma chair au-dedans, pour qu'elle réfléchisse le soleil. Instrument accordé, miroir éclairci... Tu me rends sensible, attentive à moi-même, gourmande de ma vie même... Vibrante, vivante... (...)
« Je t’accompagne désormais » - Comme ton ombre... (Et cela peut s'écrire encore : Je : Ta compagne... ! mon ami fûté...)
S'il te plaît...
« Baise m’encore »