Mais admettre l’éternité (du monde) telle que la croit Aristote, c'est-à-dire comme une nécessité, de sorte qu’aucune loi de la nature ne puisse être changée et que rien ne puisse sortir de son cours habituel, ce serait saper la religion à sa base, taxer de mensonges tous les miracles, et nier tout ce que la religion a fait espérer ou craindre (...).
(II-25; p.196)