On ne se débarrassait pas des crottes, du vomi et de l’urine comme par magie. Si on pouvait toujours porter des gants en caoutchouc et des tabliers en plastique, le nez et l’estomac n’étaient pas armés face aux odeurs. Les griffes d’animaux craintifs ou agressifs ne se rétractaient pas devant un jean de marque, et le terrain accidenté du refuge signait l’arrêt de mort d’une paire de chaussures trop chic.