Des années plus tard, au lit avec Miriam, après avoir lapé le verre de cognac que je venais de verser sur ses seins, j’ai dit : « Si, le soir de mes noces, tu avais vraiment, vraiment chercher à me prendre au piège, ô diablesse, tu te serais aspergée d’Essence de smoked meat au lieu d’un soupçon de Joy. Un aphrodisiaque irrésistible, fait à partir d’épices vendues chez Schwartz. Je ne sais pas ce qui me retient de l’appeler Nectar de Judée et de faire homologuer le nom.