La décence nous oblige à quitter cette scène avant que les habits ne tombent, que les baisers ne découvrent la chair, que les caresses n’émeuvent la peau, que les langues ne s’entremêlent, que les doigts ne se mouillent au temple de l’abandon, et que d’autres cris ne forcent de nouveau le père à clore les portes d’airain, tandis que s’ouvrent celles de la fille.