L’ADN n’est utile que lorsqu’on dispose d’une vaste base de données criminelles, et celle du Kenya n’en était qu’à ses balbutiements. À moins d’avoir beaucoup de chance, nous ne trouverions aucune correspondance. Quant aux empreintes dentaires, ce n’était même pas la peine d’y penser. Il fallait espérer que le cadavre nous livrerait quelques secrets.