En 1981, un essai de l'écrivain et critique Gao Xingjian (réfugié en France en 1988 et prix Nobel de littérature en 2000) engage les romanciers dans la voie du « roman moderne » en leur présentant les techniques romanesques de Proust, d'Aragon ou de Robbe-Grillet, et sa pièce L'arrêt de bus (1983), l'une des premières tentatives du théâtre chinois pour se libérer du poids de l'idéologie, s'inspire d’En attendant Godot et du théâtre de l'absurde.