« Marie a honte de cette méprise .Ses joues sont cramoisies.
Elle se sent naine, transparente.
Truffaut et Verlaine se fendent la poire et lui rappellent la foule des géants dont elle ne fait pas partie.
Elle ne sait rien des siècles. Elle ne sait rien des poètes que son écran affiche en recherches associées, Hugo, Rimbaud, Baudelaire, aux noms de rues ou de médiathèques, si familiers pourtant….
Douloureuse, Marie efface le nom de Verlaine dans la case Google et elle tape Alexandre … »