Au lieu de nationaliser et de collectiviser la terre, les usines, les ateliers et les centres de distribution, une communauté écologique municipaliserait son économie pour intégrer ses ressources dans un système confédéral régional. La terre, les usines, les ateliers seraient contrôlés par des assemblées populaires de communautés libre, et non par l’État-nation ou par des producteurs-travailleurs qui pourraient fort bien acquérir une mentalité de propriétaires.