À l'exception des touristes qui s'obstinaient à s'agglutiner sur une bande de sable aussi fine que la ficelle d'un string, les gens se claquemuraient chez eux, fenêtres fermées, volets clos, devant le ronronnement torpide d'un ventilateur et les images hypnotiques d'un écran de télévision, à regarder les coureurs du Tour de France suer à grosses gouttes sur des routes ardentes.