Citation de Pantasiya
Le monstre le plus proche avait déjà eu la cage thoracique défoncée, probablement au moment de sa première mort. Il bondit, m'envoyant par terre avant que j'aie eu le temps de réagir. Mon dos heurta violemment le sol, m'étourdissant. Mon arme était tombée; je tendis le bras pour l'attraper, mais le couteau s'abattit vers mon visage. Je parvins avec peine à retenir le bras de la créature, tandis que la lame s'approchait inexorablement.
L'odeur était intolérable. Mes doigts s'enfonçaient, dérapant dans la chair pourrie, et des morceaux de son estomac se déversaient sur moi par une plaie béante, alors que mes fosses nasales commençaient à envisager sérieusement le suicide. Le zombie lacéra mon bras droit de ses ongles pour tenter de me faire lâcher prise. Je ne pourrais pas tenir longtemps, je le savais. Du coin de l'oeil, je vis l'autre créature s'approcher.
La simulation, les parcours, il fallait que je me souvienne. Mes réflexes étaient noyés sous la peur- mes deux ans de conditionnement se perdaient dans les méandres de la panique, et n'atteignaient plus mes muscles.
L'odeur était intolérable. Mes doigts s'enfonçaient, dérapant dans la chair pourrie, et des morceaux de son estomac se déversaient sur moi par une plaie béante, alors que mes fosses nasales commençaient à envisager sérieusement le suicide. Le zombie lacéra mon bras droit de ses ongles pour tenter de me faire lâcher prise. Je ne pourrais pas tenir longtemps, je le savais. Du coin de l'oeil, je vis l'autre créature s'approcher.
La simulation, les parcours, il fallait que je me souvienne. Mes réflexes étaient noyés sous la peur- mes deux ans de conditionnement se perdaient dans les méandres de la panique, et n'atteignaient plus mes muscles.