Il est révolu le temps où rien n’aurait été trop beau pour lui plaire et où je passais chaque matin des heures devant le miroir à me pomponner pour l’éblouir. Finis les cœurs roses où j’écrivais nos initiales entrelacées et le petit nuage sur lequel je sautais à pieds joints dès qu’il m’accordait trois secondes d’attention.