[À] Mahad les castes supérieures avaient fait « purifier » le réservoir « profané » par les prêtres brahmanes, qui y avaient déversé le nombre sacré de cent huit pots de ghee, de lait, d'urine et de bouse de vache, sous les ovations et les chants religieux.
Ces gens pourtant instruits ne se rendaient-ils pas compte que l'idée d'une purification par l'urine animale était bien plus ridicule et méprisable que celle d'être souillés par contact humain ?