À quoi bon se crever à vivre si c’est pour de toute façon mourir, s’interrogea-t-il sombrement. Que je canne aujourd’hui ou dans dix mois, c'est la même. Spesa continuera de tourner et les Tonutos de chanter… qui se souviendra de moi quand je partirai ? Personne. Car après tout… je ne suis moi-même personne. Juste un mort faisant semblant de vivre…