Excusez-moi si j’ai l’air un peu rosse, mais jamais une femme qui écrit ne dirait une chose pareille. C’est une réflexion d’amateur. (Une femme qui écrit ne peut pas se payer le luxe d’attendre l’inspiration, elle avance quoi qu’il advienne, relève le défi, vit dans la précarité et renonce à tout pour être l’esclave de son art.) Je n’en laissai rien paraître mais j’imagine qu’à ma manière j’appuyai sur le point sensible.