(…) la faiblesse comme force dans cette pratique, la tendresse est essentielle. Tendresse envers le monde, dans l’ouverture d’un regard toujours à l’affût des atmosphères, des détails. Tendresse dans la transmission, le partage des textes, leur lecture bienveillante. Mais aussi tendisse envers soi même, pour, bouter loin de nos cahiers le terrible censeur.
(…) Au fond pour devenir écrivain, il faut faire 3 choses : beaucoup lire, écouter en profondeur et beaucoup écrire.