Nationalité : France
Né(e) à : Montbéliard , le 18/08/1969
Né(e) à : Montbéliard , le 18/08/1969
Biographie :
Nathalie Faure Lombardot est romancière.
Elle vit à Valentigney depuis plus de trente ans où elle travaille à plein temps comme technicienne de prestations pour un établissement public.
Investie dans la vie associative, culturelle et sportive, elle est secrétaire (et co-créatrice) du HandBall Club Valentigney-Mandeure, secrétaire de l'OMS (Office Municipal des Sports) de Valentigney et secrétaire de l'association Parenthèse de Valentigney dont elle fait partie de son Comité de lecture.
Mariée et mère de deux enfants, elle publie son premier roman : "La fille de l'ombre" qui connaît un succès encourageant, roman pour lequel elle a obtenu le Prix ACAI (l'Association Comtoise d'Auteurs, Indépendante) en 2015.
Elle s'est aussi essayé au roman d'amour style "New romance" avec "Sans illusion", publié en 2014.
son site : https://nathaliefaurelombardot.jimdo.com/
+ Voir plusNathalie Faure Lombardot est romancière.
Elle vit à Valentigney depuis plus de trente ans où elle travaille à plein temps comme technicienne de prestations pour un établissement public.
Investie dans la vie associative, culturelle et sportive, elle est secrétaire (et co-créatrice) du HandBall Club Valentigney-Mandeure, secrétaire de l'OMS (Office Municipal des Sports) de Valentigney et secrétaire de l'association Parenthèse de Valentigney dont elle fait partie de son Comité de lecture.
Mariée et mère de deux enfants, elle publie son premier roman : "La fille de l'ombre" qui connaît un succès encourageant, roman pour lequel elle a obtenu le Prix ACAI (l'Association Comtoise d'Auteurs, Indépendante) en 2015.
Elle s'est aussi essayé au roman d'amour style "New romance" avec "Sans illusion", publié en 2014.
son site : https://nathaliefaurelombardot.jimdo.com/
Source : http://nathaliefaurelombardot.jimdo.com
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Citations et extraits (10)
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Elle savait qu'elle devait se méfier de ce mec. Au lieu de ça, elle se laissait séduire et lui avait donné la possibilité de l'humilier. Elle se maudissait presque autant qu'elle lui en voulait. Elle n'avait pas envie de pleurer, c'était bizarre. En temps normal, après le coup de colère venaient les larmes. A présent, c'était la douleur qui prenait le dessus, une douleur violente qui lui vrillait l'estomac et le reste avec.
Vivre vraiment : ça veut dire avoir des émotions, chialer, rire, hurler, avoir peur, avoir envie de déplacer des montagnes...
- C'est bizarre la vie : j'aime toujours Laurent, c'est malgré moi. Mais avant d'avoir rencontré Manu, j'étais persuadée que le sexe allait avec les sentiments, qu'on ne pouvait pas vraiment dissocier les deux, qu'on ne pouvait pas avoir envie de quelqu'un qu'on connaît à peine. Or, je n'ai jamais désiré Laurent comme je désire Manu, avoua Léa. Chaque fois qu'il s'approche de moi, voire qu'il m'effleure, je ressens comme...
- Comme ?
- Une décharge électrique… Quelque chose de très fort... Je crois que ça me fait peur.
- Comme ?
- Une décharge électrique… Quelque chose de très fort... Je crois que ça me fait peur.
Quand quelque chose ne va pas, avoir une épaule sur laquelle s'appuyer et pleurer, tu sais, ça n'a pas de prix.
Vous n'avez pas besoin d'une gravure de mode pour vous mettre en valeur ! Au contraire, il vous étouffait… Vous n'avez jamais remarqué que quand il parlait, c'était uniquement pour s'écouter, quand il marchait, bougeait, prenait la pause, il s'admirait ? Ce n'était qu'un fanfaron qui avait besoin d'une poupée de porcelaine comme petite femme d'intérieur. Il n'avait que faire de quelqu'un d'intelligent, qui ait de la conversation… Il avait juste besoin d'une parfaite potiche qui décore parfaitement son intérieur...
Au fond de son cœur, elle avait toujours eu peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas mériter quelqu'un comme lui. Elle s'était toujours sentie commune, ordinaire par rapport à lui. Aujourd'hui, ce qu'elle redoutait le plus s'était produit. La blonde était belle, elle avait un corps parfait, elle avait du chien, elle avait su le conquérir.
Le problème, c'est les sentiments. Tant qu'il n'y aurait que du sexe, ça ne poserait pas problème…
Toute sa physionomie dégageait une certaine joie de vivre qui attirait instantanément la sympathie. Il faisait partie de ces gens avec lesquels on se sent immédiatement à l'aise, simple, bon vivant, agréable.
On ne peut pas tout avoir.
L'amour est aveugle et il ne se contrôle pas.
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