Pour toi, écrire, c’était être impudique. C’était entrer sans frapper dans toutes nos zones de honte. C’était vouloir éclairer ce qui ne demandait qu’à sombrer dans l’oubli. C’était dérouler le tapis au milieu du couloir, à la vue de tous, sur lesquels des inconnus s’essuieraient les pieds.