– Romain, c’est ta tête ? Tu as mal ?
Ma tête ? Maintenant qu’elle y faisait allusion, oui, je devais en convenir, elle me faisait souffrir.
– Oui, madame… un peu.
“Madame” a poussé un petit cri en joignant ses deux mains devant la bouche.
– Enfin, Romain ! Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu… Tu ne me reconnais pas ? […]
– Je suis désolé. Je… je ne sais pas qui vous êtes. […]
– Romain ! Je suis ta mère, voyons !