Je remercie chaleureusement Nathalie Vierne, pour l'envoi de son livre en version epub.
Quelle sublime couverture, qui nous donne envie de découvrir son contenu.
Le genre de livre que nous pouvons lâcher.
Une histoire qui nous tient en haleine du début à l'aboutissement final.
Un livre qui nous fait voyager, découvrir d'autres horizons
Une vie simple, de deux personnages qui bascule dans l'impensable.
Un livre qui mélange humour et drame.
Une thématique originale et bien ficelée.
Une écriture fluide , poétique, quelle merveilleuse écriture.
Une lecture captivante, prenante, enivrante.
Un excellent roman noir , à déguster.
Un livre que je vous recommande à cent pour cent.
Une merveilleuse découverte , un véritable coup de cœur.
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Bonjour amis lecteurs,
Je remercie chaleureusement Nathalie Vierne pour l’envoi de son livre: « L’amour insecticide »format numérique. J’ai adoré ce roman noir psychologique. L’auteure vous embarque dans une histoire où un couple ordinaire va basculer dans le pire. Usant d’une plume acérée, pratiquant un humour corrosif et décapant, l’auteure m’a séduite . Les personnages dévoilent leurs faiblesses mais se montrent peu attachants. L’intrigue est captivante et digne d’un thriller. Et pour couronner le tout la couverture est sublime. Merci Nathalie pour cet excellent moment de lecture !
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J’ai terminé depuis quelques jours ce livre dont la couverture est tout simplement magnifique ! l’écriture de ce roman est singulière à la fois poétique et pleine d’un humour (caustique ?) que l’auteure distille par-ci, par-là ! une phrase (parmi d’autres) m’a fait sourire « Apôtre de l’épeautre Magali cuisinait des légumes oubliés dont elle se souvenait malheureusement de l’existence ».
Ce n’est pas exactement le type de romans que je lis habituellement, mais je dois avouer que j’ai passé un excellent moment en compagnie de Victoire, de Franck le chasseur d’insectes en tous genres et de la mère de ses enfants, Magali, écolo végane…
Mais, il ne faut pas se tromper, ce roman décryptique sans concession, la psychologie des divers personnages, qui, à part la principale héroïne, Victoire, sont fort peu sympathiques, empêtrés dans leur quotidien et leur volonté de ne pas voir la réalité, ni ce que ressent l’autre ! le réveil risque d’être brutal !
Un roman qui mérite de trouver son lectorat ! ne pas se fier au titre, ce n’est pas une romance dégoulinante de bons sentiments !
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Un roman atypique, extrêmement drôles, d’une grande subtilité !
Des personnages antipathiques, hormis la principale protagoniste que l’on prend en pitié, sans pour autant s’attacher au personnage.
Un humour grinçant mais souvent lucide qui met en avant les pires travers de l’être humain et qui va crescendo dans la noirceur !
Un régal de fin gourmet, pour vos « pupilles »qui ne manqueront pas de se dilater ❤️❤️
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Coup de cœur ❤️ pour ce roman qui dissèque avec maniaquerie les coins sombres de la psychologie humaine, sur fond d'intrigue amoureuse épicée à la folie criminelle.
C'est angoissant, tordu, bourré d'oppositions et de figures de style qui donnent à ce roman une valeur scénique. En le lisant, j ai vu un film.
Le thriller psychologique est mon genre cinématographique préféré, à vrai dire le seul que je suis capable de regarder. Je n'ai jamais accroché, jusque là, avec un livre du genre. Je suis bluffée, charmée, envoûtée.
Entre comparaisons, métaphores, et cette superbe paronomase à la page 175, chapeau bas sur les figures de style !
L'écriture est hybride, moderne, mi vulgarisée mi littérarisée. J'y retrouve mon style. Nos plumes sont du même acabit. Pour moi, ce roman, c'est de la bombe, de la littérature d'avant-garde comme j'aimerais en trouver partout.
@nathalievierneroman, tu tiens un truc mais crois moi, si les éditeurs ne sont pas prêts à ce raz de marée, les lecteurs jugeront.
Bravo !
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C’est quoi un couple finalement ? 2 personnes : toi et moi ? 3 personnes : toi, moi et nous ? 4 personnes : toi, le toi que je crois que tu es, moi, nous ? 5 personnes ? Quelle est la part de l’autre réelle, et la part de l’autre rêvée ? Enfin, rêvée… projetée peut-être ? Jusqu’à quel point peut-on se tromper, s’illusionner. Jusqu’à quel point peut-on se convaincre que l’autre est comme on voudrait qu’il soit… au point de se nier, de s’aliéner, de se sacrifier ?
En même temps, faut-il se suffire du réel ? Oui, parfois. Mais peut-être avons-nous besoin d’une part de rêve pour accepter la réalité plus banale, plus décevante ?
Pourquoi est-ce aussi si difficile, parfois, malgré les alertes, malgré les amis, d’ouvrir les yeux sur soi-même, sur l’autre ?
Pauvre Victoire qui, comme disait Jacques Brel, « aimerait bien avoir l’air, mais n’a pas l’air du tout ». Comment lui reprocher de fantasmer sur son collectionneur de papillon ? Elle a déçu son milieu, sa famille. Pourquoi n’aurait-elle pas droit, elle aussi, à sa part de bonheur ?
C’est peut-être cela, au fond, l’histoire de l’amour insecticide. Cette part d’espoir fou de vouloir trouver chaussure à son pied, la peur de se tromper, mais aussi la peur de rater le coche… alors, tant pis, autant foncer.
Drôle d’histoire quand même : des anti-héros, pas particulièrement attachants, un quotidien affligeant… Tout le monde n’y trouvera pas son compte. Et pourtant, amies et amis de la psychologie acérée au couteau, de l’humour mordant, caustique, d’une réalité sans illusion et sans concession, et d’une écriture au scalpel… Foncez ! Car, Waouh, ça décape ! À consommer de préférence après le thé et quelques douceurs quand même. Bravo Nathalie Vierne.
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