« Quand j’étais professeur, une des premières choses que je disais chaque année à mes étudiants était de ne jamais, jamais lire une introduction avant d’avoir lu le livre. Pour une raison perverse, le préfacier ne manque jamais de vous raconter l’intrigue […] ou vous parle de personnages et de situations avec lesquels vous n’êtes pas familiers car, merveille des merveilles, vous n’avez pas encore lu le livre.
-Jonathan Carroll, Introduction à l’édition originale-