Je lus sur l'un des murs du pavillon abritant les folles les plus atteintes : "Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir." L'absurdité de ce message était trop cruelle. "Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance", voilà des mots qu'il aurait davantage convenu de tracer au-dessus des grilles de l'asile.