L’idée m’était d’abord venue d’aller dans une pension de famille. J’aurais pu confier à son propriétaire que j’étais à la recherche d’un emploi, avant de simuler quelques jours plus tard un accès de folie. Mais je changeai d’avis et décidai de me rendre dans une pension pour travailleuses : une fois ses occupantes convaincues de ma folie, aucune ne trouverait le repos tant que je ne serais pas sous bonne garde.