Ann Campbell avait une trentaine d’années et un corps joliment tourné, genre prof d’aérobic, musclé en finesse, sans une once de rondeur superflue. Je reconnus son visage, aperçu sur les affiches de l’armée. Elle devait sa séduction à une beauté nette et classique, à la blondeur de ses cheveux mi-longs, excédant peut-être la longueur réglementaire.