Oui, on peut rêver jusqu'à la fin d'un revirement inattendu qui procure au lecteur le frisson tant espéré, la jouissive échappatoire.
Le même postulat s'applique à la vie. Jusqu'au bout, l'espoir subsiste. C'est la raison pour laquelle on ne renonce pas à la vie tant que la vie elle-même ne nous a pas abandonnés.