La moyenne d'âge fleurait bon l'amateur des séries policières germaniques diffusées l'après-midi, entre une pub pour une convention obsèques et les prouesses technologiques d'un appareil auditif. C'est l'époque qui veux ça, l'époque ou la simple constatation blême, cent fois rabâchée : les jeunes ne lisaient plus. Alors quoi de plus compréhensible que de voir vieillir la fréquentation d'un salon du livre de province ?