Sous le charme, je regardai ma belle, qui ne se doutait de rien, dévorer sa canette avec un appétit féroce, les yeux brillants. Coup de fourchette après coup de fourchette, elle paraissait toujours plus encline à plaisanter avec moi. Encouragé par son attitude, je me mis à rivaliser d’esprit, moi-même étonné de constater à quel point il était simple, soudain, de flirter avec Valérie.