Pendant trois semaines, on se bat sur les plages. Au début de la quatrième, un typhon providentiel arrache les bateaux de leur ancres et détruits corps et biens l'immense armada chinoise.
(...) Aujourd'hui on donne aux typhons de gracieux noms de femme, sans doute pour apaiser leur fureur. Les japonais du XIIIe siècle baptisèrent ce typhon salvateur le Vent-Dieu (Kami kaze), et les pilotes-suicide de la guerre du Pacifique, alors que tout est déjà perdu, reprendront ce nom à leur compte.