Je suis d’une fièvre qui perce et dure, jamais ne se repose, ni de cerisaie ni de mains autour. Au cimetière, j’ai des larmes assises sur leur jour d’aimer : Maman est partie. Dans notre ferme, il n’y avait pas beaucoup d’air, nous manquions de terre profonde, mais nous avions des racines qui couraient sans déranger les pierres. Le cercueil de Maman s’enfonce lentement. Il me semble, à cet instant que la paille a tout dit. P 41