Moins le romancier nous donne à voir, plus il nous donne à sentir, et plus il nous passionne. C’est tout naturellement qu’il devait donc sembler au narrateur de Proust qu’un roman nous touche, nous émeut, nous bouleverse d’autant plus qu’il élimine de ce qu’il relate tous les éléments objectifs qui pourraient être ceux de notre perception.