Nicolas Lozzi

C'étaient les voix des lacs et des montagnes et le souffle des ventes et le juste mouvement de la vie irrésistible des personnages dressés devant le destin, puis abattus, puis ressuscités, tordus, généreux ou retors [...], c'étaient les dévastatrices stridences des trompettes de la mort qui retentissaient en lui, en un mot ce que j'aimais en Giono, c'était ce tabernacle qui contenait la création.
Pierre Magnan sur Giono

Maniaque et d'un caractère difficile, Laviolette est un contemplatif, un rêveur, un descendant de Jean-Jacques Rousseau. Comme policier, il a de curieuses méthodes : s'il est habile à recueillir des indices, il se fie surtout à l'appréciation des atmosphères et à l'osmose des intelligences.
Henri-Yvon Mermet

Il n'y a rien à trouver ici, à part l'odeur suffocante de la détresse et du renfermé. Tu peux à présent explorer le bâtiment du personnel au 42 ou les gravats au 156. À tout moment, tu peux quitter le camp et reprendre le plan 3.

Tu creuses à peine une minute avant de ressentir la révulsion que tu redoutais. Tu bascules en arrière, le crâne vrillé par mille pointes qui tentent de percer ton cerveau. C'est un doigt. Un doigt humain rigide et brun.

Le lendemain matin, on découvre le corps de Rochette dans son lit, transpercé de 12 coups de couteau. Carrott prend l'affaire en main, et découvre vite le passé sordide de la victime : d'après un article de journal de 1932, son vrai nom est "Castelli", et son crime fut atroce ; à cette époque il a kidnappé et assassiné la petite Debby, une enfant innocente, et frappé de malheur une famille entière.

La batterie solaire te serait très utile pour alimenter quelque chose, mais seule, elle ne t'aide pas. Quel autre objet pourrait te permettre de faire la lumière sur cette situation ? Si tu as une idée, retente une combinaison en A3. Sinon, tu n'as plus qu'à revenir sur l'Arès au 30.

Rends-toi vite au vestiaire pour récupérer ta combinaison de pilote. Il y a aussi une surprise qui t'attend. Bon courage Stella. [...] Tu peux à présent te rendre au vestiaire au 11.