« Le vert sentier qui nous amenait l’un vers l’autre avait une pente si douce,
Il était entouré de buissons si fleuris, il se perdait dans un si tranquille horizon ! .
Il a bien fallu que la vanité, le bavardage et la colère vinssent jeter leurs rochers informes.
Sur cette route céleste, qui nous aurait conduits à toi dans un baiser » .
ALFRED DE MUSSET .
ON NE BADINE PAS AVEC L’AMOUR’ .
ACTE III. SCÈNE VIII.