Pour les loups comme pour toutes les bêtes, les choses étaient simples. La vie était claire. On naissait, on chassait, on mourait ... on souffrait parfois, comme Voulka avait souffert - et continuait sans doute de souffrir - de la mort de Torok. Mais on prenait la vie comme elle venait et on continuait de la vivre, jusqu'à ce qu'elle s'arrête. Sans se poser de questions.