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Critiques de Nicolas Vial (61)
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La quête d'Ewilan, tome 7 : L'île du destin (BD)

Le tome 5 touche au but concernant la résolution de la première partie de la quête. En effet, notre vaillante troupe est arrivée à Al-Poll permettant ainsi la libération des sentinelles de Gwendalavir.



Les tomes 6 et 7 nous permettent de découvrir de nouvelles facettes de cet univers puisque le chemin de Camille/ Ewilan la conduit à la citadelle des frontaliers puis vers l'île du destin en plein territoire des pirates Alines où sont retenus prisonniers ses parents.



Ils donnent également l'occasion de retrouver son frère Mathieu/Akiro que j'ai trouvé moins prétentieux qu'auparavant. Il nous permet de comprendre comment Ewilan et lui ont été adoptés par les Duciel et les Boulanger. Un approfondissement nécessaire !

De plus, tandis que d'autres personnages laissent leur place pour partir vers de nouvelles aventures, un nouveau personnage vient faire son apparition. Il s'agit de la jeune sœur d'Edwin, Siam qui rejoint la petite troupe.



Pour conclure, cette saga se clôture de manière magistrale bien que certaines questions semblent émerger ! Par ailleurs, cette adaptation BD m'aura permis de redécouvrir avec plaisir ce fabuleux univers !
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La quête d'Ewilan, tome 7 : L'île du destin (BD)

Un final en beauté pour cette superbe saga, comme d'habitude l'aventure est pleine de rebondissement. Au fil des tomes on a vu naître des sentiments d’amitié très forts, puis des sentiments amoureux entre divers personnages. Cette saga se finit avec émerveillement par la traversé de ces sublimes paysages et ces sublimes images de magie. Une quête pleine de courage et de passion qui m'a beaucoup plu.

On prendrait bien plaisir à poursuivre la route avec ces personnages.

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La quête d'Ewilan, tome 7 : L'île du destin (BD)

Dernier tome de la série correspondant au premier cycle de romans de l'univers d'Ewilan, il aura donc fallu 7 tomes pour adapter la trilogie de Pierre Bottero.

Dernières étapes forcément du périple visant à libérer les parents d'Ewilan et de Mathieu, on traverse encore de magnifiques paysages peuplés d'amis et d'ennemis. Le tout passe très vite, presque un peu trop, et la délivrance finale n'apparait finalement que comme une étape de plus vers le destin de la jeune fille.

J'ai donc été un peu déçue par le rythme de ce dernier tome, mais sûrement parce que je serai bien resté un peu plus avec les personnages.
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La quête d'Ewilan, tome 7 : L'île du destin (BD)

C'est le clap de fin pour cette longue série de bande-dessinée, une histoire que j'ai seulement pu connaître à travers ces adaptations graphiques. Mais ayant lu toute la saga sur plusieurs années, il y avait trop d'écart entre les tomes pour que j'ai réellement toute l'histoire en tête et en comprendre vraiment tous les tenants et aboutissants. Cette série mérite donc d'être lu avec les tomes les uns à la suite des autres, ou en intégrale. Quoiqu'il en soit, je suis contente d'avoir lu ce dernier tome et de voir la quête d'Ewilan aboutir, c'est-à-dire qu'elle puisse retrouver et libérer ses parents. J'ai beaucoup tout ce qui se passe ensuite, après ce but ultime. C'est plaisant de voir le happy end qui se prolonge et ne pas avoir une histoire qui se termine jusque après le dénouement, qui vous coupe l'herbe sous le pied. Un peu de bonheur et de joie sont les bienvenue pour clôturer cette saga faite de plein d'actions et d'aventures, avec des moments pas toujours réjouissants. On découvre ainsi le devenir et le futur de chacun des membres de l'expédition. Vu le nombre de personnages et leur importance dans l'aventure, formant ainsi un joli groupe soudé, c'est un plaisir de voir leur projets futurs pour chacun d'entre eux.



Et évidemment, comme l'ensemble de la série, la qualité graphique est magnifique. Les couleurs sont magnifiques, les paysages splendides et l'on prend vraiment plaisir à s'attarder sur chacune des illustrations.
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La quête d'Ewilan, tome 7 : L'île du destin (BD)

Résumé : Ewilan et ses compagnons prennent une route chargée de dangers pour trouver l’île du Destin et délivrer les parents d’Ewilan.



Mon avis : Ce tome 7 clôture la quête d’Ewilan de façon magnifique.



La route pour trouver l’île du destin est semée de nombreux dangers, surtout qu’Elea Ril’Morienval est là, cherchant par tous les moyens à éliminer Ewilan et ses amis. Tous savent que cette dernière étape est compliquée, et qu’ils pourraient y laisser la vie, mais leur courage et leur amitié est plus forte que tout.



Moi qui avait adoré les romans de Pierre Bottero, j’ai trouvé que cette adaptation BD était très réussie jusqu’au bout, à la hauteur de ce magnifique univers. Le dessin, le graphisme et les couleurs nous emportent vraiment dans un autre monde, et je suivrai avec plaisir la suite des aventures dans le cycle des « mondes d’Ewilan ».
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La quête d'Ewilan, tome 7 : L'île du destin (BD)

Un trio final pour une saga excellente et une adaptation magnifique. Franchement, le travail réalisé est grandiose, j’ai relu les six premiers opus pour terminer en beauté une série de BD qui est inoubliable et à la hauteur des romans de Pierre Bottero. Je suis impatiente de pouvoir me les offrir un de ces jours pour les relire sans modération, c’était clairement une pause détente, réconfortante et une belle aventure au cœur de Gwendalavir.



Comme toujours, le texte est excellent, maîtrisé et soigné. Les répliques s’enchaînent avec fluidité, elles sont naturelles et permettent de cerner rapidement qui parle, même sans prêter attention aux illustrations. Le récit avance vite et bien, entre temps, j’avais lu la trilogie de romans et je dois bien admettre que l’adaptation est une réelle merveille. Ni trop en longueur, ni fidèle à la virgule près, ni trop rapide et coupée à la truelle, le texte de Bottero prend réellement vie et il prend aussi des couleurs.



Les illustrations sont un gros coup de cœur ! Sincèrement, c’est difficile de ne pas craquer devant ces couleurs magnifiques, devant ces décors qui me coupent le souffle. Les paysages naturels, le voyage aquatique, les contrées de glace jusqu’au cœur du désert, dans les souterrains et les ruines, dans les cités majestueuses, tout m’enchante et me transporte dans un monde enchanté. Les créatures comme les animaux, les objets comme les actes de magie, les actions comme les émotions sont un réel ravissement pour les yeux et il est difficile de ne pas passer des heures sur chaque planche à admirer les détails. C’en devient presque un challenge !



Le design des personnages, notamment des petits nouveaux est ultra plaisant. Pour éviter tout spoil je n’en dirais pas davantage, mais j’ai adoré ces nouvelles têtes. Ennemis comme alliés, les nouveaux protagonistes apportent de nouvelles péripéties, de nouveaux enjeux, de nouvelles idées qui m’enthousiasment ou me font frémir de peur. En tout cas, ces nouveaux personnages sont intéressants et il me tarde de revoir tout ce beau monde dans les Mondes d’Ewilan.



D’ordinaire, dans une compagnie de héros partant à l’aventure, j’ai toujours un chouchou, un que je n’aime pas du tout, les autres m’indiffèrent ou presque… Pas là, chacun d’entre eux possède sa spécialité, ses pouvoirs, son rôle, sa place. Ils sont irremplaçables et adorables à suivre. J’ai adoré suivre leurs aventures ! Camille est une adolescente charmante, rêveuse et sensible, tout en étant déterminée et forte tête, j’aime beaucoup cette héroïne à la fois pétillante et intelligente, en retenue et élégance. Salim prend du galon, il m’a énormément surprise au fil des tomes, prenant une place plus importance, ce n’est pas un sidekick comique, il a du potentiel. Nos chevaliers Maniel et Bjorn sont fidèles à eux-mêmes, j’ai bien aimé la discrétion d’Artis ainsi que son don. J’ai une légère préférence pour Edwin et Ellana, mais c’est tout léger comme favoritisme. Mais c’est parce que leur duo fonctionne aussi bien que celui de Camille / Salim.



Le tome 5 un de mes préférés ! J’ai l’impression de dire ceci à chaque tome, mais celui-ci m’a captivée du début à la fin ; on sent que le grand final approche, que le dénouement est proche.



J’ai beaucoup aimé l’intrigue, on découvre la cité des Sentinelles, ses secrets, on voit de nombreux événements trouver une fin, ou du moins, un premier élément de réponse. J’ai apprécié les découvertes, l’ambiance de ce tome qui est entre merveilleux, découverte et quelque chose de plus sombre, de plus mature. Le tome 6 offre une parfaite transition, une ambiance plus légère, un côté reposant avec des réponses intéressantes, de petits ajouts importants pour étoffer les personnages et l’univers. Je l’ai beaucoup aimé. Enfin, le tome 7 offre une jolie conclusion, quoiqu’un brin rapide. Néanmoins, c’est un final riche en émotion et en action, une belle promesse pour la suite des aventures de Salim et de Camille. J’ai passé un chouette moment devant ces sept tomes.
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La quête d'Ewilan, tome 7 : L'île du destin (BD)

Alors autant je pourrais mettre en avant la fidélité à la plume de Pierre Bottero dans toute cette série de bande dessinée, autant les trais des personnages ne m’ont pas enchantée.

On y retrouve cependant toute leur complexité et leurs émotions , mais aussi leurs forces et leurs faiblesses.

Pourtant les traits des visages m’ont paru trop taillés à la serpe, pas assez fins pour me les rendre attachants.

Je dois cependant avouer que les décors au contraire ont su retenir mon attention par la beauté de leur description. L’Arche, les villes comme Al-Jeit ou Al-Pool ont su émerveiller mon âme de lectrice. Elles reflétaient tout le rêve que j’en avais fait en lisant la plume de l’auteur au fil des romans.

c’est donc à la fois avec bonheur et un peu de déception que je referme cette série.

Cela ne l’empêchera pourtant pas déballer découvrir la suite avec les Mondes d’Ewilan en BD.
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La quête d'Ewilan, tome 7 : L'île du destin (BD)

Fin de la quête d'Ewilan, fidèle à la trilogie de Bottero,mais avec un poil moins d'émotions car plus expéditif. Cela reste une adaptation réussie d'un univers à découvrir.
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La quête d'Ewilan, tome 7 : L'île du destin (BD)

Fin du cycle de la Quête d'Ewilan en BD, ce dernier album de l'adaptation se base sur le tome 2 de la trilogie éponyme de Pierre Bottero. Pourtant, les Frontières de glace ne sont pas le dernier tome de la trilogie mais le deuxième, il y a ensuite l'île du Destin, dont l'album porte le nom.

Comme les tomes précédents, j'ai adoré les dessins (quoique ceux d'Ellana m'ont déçue, entre temps j'ai lu les 6 BD d'Ellana et je trouve son visage mieux fait dans les tomes la concernant que là), les couleurs absolument magnifiques et les émotions transportées sur les pages par l'osmose du dessin, des personnages et de leurs paroles. Je déplore un peu par contre la rapidité de traitement des deux derniers tomes, tout s'enchaîne trop vite et donne l'impression que la fin de l'histoire est donnée à la va-vite, comme si la Quête n'était finalement pas si difficile et pas si compliquée. Je ne pense pas que ce soit volontaire, mais c'est l'impression que m'a laissée ce tome de fin.

Hâte tout de même de lire Les Mondes d'Ewilan en BD
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Le chat star : Matou Miteux fait du cinéma

Matou Miteux fait du cinéma Matou Miteux vient d'une famille de chats de gouttière vivant à la campagne mais lui, c'est un chat des villes et il a de grandes ambitions : faire du cinéma ! Grâce à un cousin qui travaille dans le milieu, il obtient de faire de la figuration dans un film mais ce qu'il veut c'est être en haut de l'affiche. Contre l'avis de sa famille qui considère le métier d'acteur comme "un métier de chien", il décide de prendre des cours de théâtre...et de plein d'autres choses.



La suite sur mon blog jeunesse : http://autraversdumiroir.blogspot.com/2011/06/le-chat-star-de-marion-paoli-et-nicolas.html
Lien : http://autraversdumiroir.blo..
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Le temps suspendu : 16 mars - 24 mai 2020

Je remercie de tout coeur Babelio pour ses opportunités de lectures merveilleuses, Nicolas Vial et Éric Fottorino pour leur magnifique livre pleins de couleurs et de poésie, et les éditions Gallimard pour leur envoi.

J'ai fini « le temps suspendu 16 mars-24 mai 2020 » avec un mélange de sentiment sur ce livre... le journal d'un homme pendant le confinement, son regard sur l'actualité avec des illustrations (satiriques?) magnifiques à toute les pages.

Sur la couverture il y a une page pliée et quand on la déplie l'on retrouve toutes ces illustrations en un espèce de calendrier coloré!

La plume de l’auteur est douce et même poétique et l'on fini en apothéose avec son « je m'e souviens » qui m'a fait pleuré



Merci de tout coeur je garderai ce livre pour me souvenir justement qu'un jour un virus nous a privé de nos famille et nous a empeché d'être ce que nous sommes...

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Le temps suspendu : 16 mars - 24 mai 2020

Ce livre raconte jour après jour le vécu de l’auteur au cours des deux mois de confinement durant la première vague de l’épidémie de Covid allant de mars à mai 2020. Ce livre est illustré par les dessins à l’aquarelle de Nicolas Vial, dont la douceur et la beauté font harmonie avec le texte.



Le regard d’Eric Fottorino durant cette période de cloisonnement est un regard analytique sur des questions d’actualité mondiale, locale, psychologique, des tas de choses qui touchent tout le monde. Le masque, l’anxiété de la maladie, le vécu confiné, l’hécatombe de Bergame, les chiffres, il y a des hommages, des références… « l’homme qui dort » de Perec revient à plusieurs reprises, et je suis tentée aujourd’hui de lire ce livre qui parle du confinement d’un homme.



J’ai beaucoup aimé lire ce livre qui porte un témoignage sur une réalité qui me touche encore aujourd’hui.



Merci à Babelio et aux éditions Gallimard pour ce livre reçu lors de Masse Critique.

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Le temps suspendu : 16 mars - 24 mai 2020

Avant toute chose, merci à Babelio et sa masse critique pour ce formidable livre.

merci à Eric Fottorino et à Nicolas Vial pour leur collaboration. Ou quand les textes sont magnifiés et les dessins scénarisés.

Merci enfin à Gallimard pour cette publication et l'envoi de l'ouvrage.



Cette période, nous nous en souviendrons tous.

Inattendu, perturbante, inconnue... qu'en retenir? Les mots de Eric si justes, si marquants, si réalistes.

Ces moments que nous avons connus avec leur joie, leur doute, mais aussi et surtout la lassitude.

Les dessins de Nicolas à la douce beauté, à l'émotion exacerbée, à l'appel aux rêves et aux sourires.



Oui je ne suis surement pas objectif. Revenir sur cette période, je ne le souhaitais pas... et je le demandais.

Me replonger dans ce confinement qui me terrifiait et qui m'a pourtant transformé.

Craindre le pire et se réjouir du retour aux sources, à la proximité, à l'entraide.

Tout cela est superbement illustré et décrit.

Ca se déguste jour après jour.

Et je ne peux que vous le recommandez!



Bravo messieurs.
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Lire tue

J'ai beaucoup aimé certains dessins, je vais essayer de vous en parler. D'abord, des personnages écrasés par des livres (Autopsie d'une gaffe éditoriale, dessin paru dans Le Monde le 18 décembre 1997). Ensuite, une immense bibliothèque avec une girafe (non, pas la bête, un de ces grands escabeaux avec plate-forme que l'on trouve dans les vieilles bibliothèques), un peit bonhomme grimpe à cette échelle (dessin inédit). La même bibliothèque se trouve avec un TGV Paris-Londres qui l'éventre depuis l'arrière en faisant tomber les livres (Londres, le fiasco de la grande bibliothèque Saint-Pancras, dessin paru dans Le Monde le 10 janvier 1995). Enfin, un homme lié à un porte-plume et transpercé de plumes à la façon d'un saint Sébastien (Les stigmates, dessin paru dans Le Monde le 17 avril 2001). Il y en a plein d'autres, à vous de les découvrir !
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Lire tue

Peut-être. Je ne sais pas. Et pourtant. J’ai lu la préface d’Éric Fottorino. J’ai parcouru les dessins de Nicolas Vial. Mais je ne sais toujours pas si lire tue. Les mauvaises coupures de mots auraient pu m’achever (trois en neuf pages, dont le mot livres scindé en liv-res). Mais non. La mise en page des dessins inconsistante, sans souci esthétique, avec les titres et les dates de publication des planches à la fin plutôt que sous les dessins eux-mêmes, ne m’a pas tuée non plus, mais ça aurait pu. Bref, voilà là l’exemple d’un livre bâclé. Où avec de bonnes intentions, on en reste aux intentions. D’une part, un texte d’introduction qui ne sert pas à présenter les dessins et qui aurait même pu être publié sans eux, tant il est avant tout un joli billet d’humeur. D’autre part, des dessins jetés en vrac, comme pour se débarrasser d’un projet qui n’intéresse plus l’éditeur ou celui chargé d’exécuter le travail d’édition. Et exécuter est bien le mot à utiliser ici. Il y a bel et bien un mort. Pas un lecteur. Un livre.
Lien : http://lali.outsimplement.co..
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Matou miteux

Le chat du meunier a un jour un terrible accident en passant dans les engrenages du moulin. Mais son maître lui confectionne une sorte d'attelle géante avec une carapace de tortue. Une carapace de tortue qui va se révéler au final très handicapante…

Malgré un dessin un peu « psychédélique » (le mot est un peu exagéré j'avoue car je n’arrive pas à définir le style des illustrations), le récit est plutôt intriguant avec ce chat qui va subir un grave accident, puis une terrible expérience qui va le marquer physiquement mais qui n'entamera pas l'amour du chat pour son maître et celui du meunier pour son animal.
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Matou miteux

Après un accident dans le moulin, le chat du meunier doit porter une carapace de tortue pour guérir. Mais il est incapable de rester en place. « Très vite, il devient la tortue la plus rapide du monde, terrorisant rats et souris, mulots et musaraignes. » (p. 9) Arrivent des pluies torrentielles et les champs sont inondés. Le pauvre matou manque de se noyer, mais aidé par une souris, il retrouve le moulin. Même s’il est déglingué, étiré, tordu et bossu, ce matou miteux reste le cher animal de son maître le meunier.



Avant de lire l’album, je trouvais le titre très drôle. J’imaginais un chat de gouttière efflanqué et attachant. Ici, le pauvre animal est bien éprouvé, presque martyrisé et supplicié. Et les dessins me semblent un peu trop effrayants pour un album jeunesse. Ou alors ça vient de moi qui ne supporte pas de voir un animal souffrir…

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Sales chats

Jolies images bien amusantes de Vial; les textes d'Anne Wiazemsky sont joliment tournés ... mais ils ne sont pas arrimés les uns aux autres, ce qui donne à voir une association bien artificielle..
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Un brise-glace sous les tropiques

Dans ce mois de janvier interminable et globalement très gris à Lyon, quel bonheur de se plonger dans le très beau livre illustré de Nicolas Vial, Un brise-glaces sous les Tropiques, pour un voyage dans les eaux chaudes autour de Madagascar en partant de la Réunion.



L’illustrateur et peintre a embarqué sur le navire brise-glaces, l’Astrobale, en tant que peintre officiel de la marine. Je ne savais même pas que cela existait mais si le sujet vous intéresse, sachez qu’il existe le site des Peintres Officiels de la Marine sur lequel on apprend que la qualité de « peintre des armées » (Marine) a été défini par un décret qui date de 1981 mais que ce statut existe depuis 1830. C’est là que j’ai découvert que Nicolas Vial est peintre de la marine depuis 2008 mais qu’il y a des personnalités autres que peintres qui ont eu ce statut (par exemple Jacques Perrin comédien et réalisateur ou Yann Arthus-Bertrand photographe). Enfin si vous vous intéressez particulièrement au dessin et à la peinture, allez voir la galerie.



Nicolas Vial a rempli six carnets de dessins pendant la mission de l’Astrobale (entre autres mission de patrouille et de lutte contre la pêche illégale) et en a tiré ce magnifique livre, Un brise-glaces sous les Tropiques.



M’intéressant au croquis sur le vif, je serais curieuse de savoir comment il a travaillé. Est ce qu’il a dessiné souvent à bord ? Il évoque dans le texte un accident avec de l’encre projeté contre un mur alors que la mer est agitée. Est ce que les illustrations présentées dans le livre sont celles faites dans ses carnets ou ont-elles été retravaillées ? quels médias a-t-il utilisé ? a-t-il colorisé certaines de ces illustrations à postériori ?



En tous cas, j’ai été éblouie par les couleurs qu’il utilise. J’aime en particulier la façon dont il traduit les reflets sur l’eau et celle dont il magnifie les maisons à l’abandon. Il transmet aussi très bien la richesse et la densité de la végétation.J’ai partagé son émotion et son émerveillement lorsqu’il raconte avoir vu lors de ce voyage des orques, des baleines, des raies, des tortues, des dauphins (alors que l’équipage est forcément plus habitué que lui. J’ai imaginé son étonnement devant cette terre à Madagascar recouverte de baobabs et sa tristesse en voyant au milieu de l’Océan Indien, ses tonnes de déchets portés par les courants sur ces îles désertes au sable blanc.



J’ai noté le nom des arbres évoqués (manguiers, girofliers, eucapyptus, arbres pieuvres, bougainvilliers, euphorbes) pour me documenter plus tard à leur sujet et peut-être les dessiner.Je suis allée voir des photos de Diego Suarez, ville que Nicolas Vial découvre lors d’une escale mais aussi les peintures d’Hubert Robert, peintre des ruines, cité par l’illustrateur.



Merci pour ce voyage dépaysant par procuration !
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Un brise-glace sous les tropiques

D’ordinaire, Nicolas peint et dessine dans son atelier parisien. Cette fois, le peintre officiel de la Marine a (enfin) pris le large sur L’Astrolabe en patrouille autour des îles Éparses et de Madagascar. Cet embarquement tropical l’a indéniablement inspiré, lui qui n’aime pas mieux qu’à sublimer à coup de pinceaux les océans et les bateaux. Le trait, le pied et le cœur assurément marins, le « Maître » s’éclate. Bigre !
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