Quand ils travaillent, ces lecteurs que l’on voit assis assez banalement vivent chacun à un moment différent de l’histoire ; leur présence corporelle est une illusion, leur esprit habite chacun un temps révolu ou un lieu inaccessible. Ils s’engouffrent dans la parcelle de temps qu’emprisonnait le manuscrit qu’ils viennent d’ouvrir. (p.75)