On n'oublira pas enfin qu'avec les aristocraties étrusques et italiques, Rome elle-même eut recours à ce nouvel art de peindre et laissa à la postérité le souvenir, paradoxal, d'une aristocrate, Fabius Pictor, apposant sa signature sur les fresques ornant le temple de Salus en 303 av. J.-C. Une fois encore, une peinture funéraire, le fragment de l'Esquilin nous permet d'en saisir un reflet indirect.