Vous arrivez à pénétrer dans Saint-Tropez bloqué par des embouteillages insensés. Ce n'est pas trop tôt. Vous allez pouvoir vous reposer et vivre quelques merveilleuses journées avec l'Homme. Loin des soucis quotidiens et du vacarme de vos rejetons.
750 000 autre Parisiens ont fait le même raisonnement que vous. Il ne reste plus une chambre de libre à 200 kilomètres à la ronde. Vous hésitez entre dormir dans la voiture sur le port, ou repartir immédiatement chez vous. A Paris.