Stalingrad était son repaire, il s'y réapprovisionnait et récupérait les quelques dizaines d'euros de ses bénéfices hebdomadaires. C'était trop peu pour se payer un hôtel, mais suffisant pour squatter dans un appartement sous-loué à quelques sans-papiers comme lui. En France, comme dans son pays, l'exploitation de la misère humaine n'avait pas de limites.