«Malheur a celui qui n a pas en lui la source du bonheur!
Malheur a celui qui veut plaire aux autres!
Malheur a celui qui ne sent pas que cette vie et l autre ne font qu un!»
La nuit est tombee, je n y voyais plus assez pour lire. Je fermai le livre et regardai la mer. «Il faut, pensai je, il faut que je me delivre de mes fantomes... Malheur, m ecriai je, a celui qui ne peut se delivrer des Bouddhas, des dieux, des patries, des idees!»