Dans l’atelier de Leferrand, il y a de très grandes sculptures représentant des centaures et des sphinx, des tableaux avec des femmes nues et biscornues et des tapisseries à l’effigie de licornes au drôle de regard. C’est beau mais, en même temps, ça fait un peu peur. C’est plein de piquants, d’angles aigus et d’arêtes. Même les cuisses et les ventres des femmes, pourtant lisses, paraissent avoir quelque chose de pointu, comme de la chair de poule.