Les chats enfouirent leur petite tête dans sa main. On avait coutume de dire que les ronronnements avaient le pouvoir de souder un tas d'os brisés ou de soigner une âme pétrifiée. Mais une fois que le miracle s'était accompli, les chats reprenaient la route, sans se retourner. Ils aimaient sans retenue, sans condition, mais aussi sans promesse. (p. 304)