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Citations de Nita Rousseau (14)


Ces iris qui lui tournaient la tête. Ces grandes fleurs violentes à gueule bleue seraient la première image, le tout premier mouvement de sa mémoire.
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Tu as l'air d'une poule qui se prend pour un paon.
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À Jeanne, on ne disait jamais comme aux autres petites filles : "Un jour, quand tu seras grande." Comme si elle allait rester, à jamais, une Jeanne de dix ans.
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Tout le monde, toujours, appelle sa mère, même malade, même mourant.
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Si jolie que sa mère en était jalouse. Pour qu'elle ne lui fasse pas de l'ombre, elle l'habillait comme un sac...
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Pas le crawl, Jeanne, lorsque le corps s'épuise, tu le laisses aller à la violence de l'eau, tu t'économises. Tu y vas. Brasse coulée, Jeanne, il faut tenir la vague, se laisser porter. L'accompagner.
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Jamais sous les bananiers, Jeanne, c'est plein de serpents minute. Ils se coulent, verts comme les feuilles, tu n'as pas le temps de les voir que, déjà, ils t'ont mordue.
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La vie se chargera bien de te dresser, ma petite fille. Je te souhaite d'avoir un jour des enfants qui te ressemblent. Ce sera ta plus grande punition.
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Toute la vie de Jeanne n'avait été qu'une longue, qu'une interminable sieste avec ces gestes de femmes, ces voix retenues par la chaleur.
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Entre ciel et herbe, on tendait une toile et montait jusqu'au vertige l'odeur des fleurs invisibles, fermées pour la nuit.
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Jeanne avait parfois, elle s'en étonnait elle-même, des gourmandises si violentes qu'elles lui faisaient mal, des rages soudaines qui l'emportaient, la soulevaient comme une tornade, la laissant ensuite épuisée, somnolente de tristesse.
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Les pleurs énervent les hommes et insupportent les femmes.
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Jeanne était bleue, bleue de lèvres, bleue de peur.
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Tous les hommes rêvent. Sinon, ils mourraient.
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