Ceux qui résistent à cette vague réactionnaire et néo-fasciste construisent une nouvelle identité, dont les composantes sont le cosmopolitisme et le Commun, l’autonomie, la capacité citoyenne d’agir et la coopération. Le cosmopolitisme, c’est considérer la responsabilité du citoyen (polis) envers la planète (cosmos). C’est la force du métissage contre le droit du sang… Autant de valeurs que porte l’écologie sociale. (Mediapart, 24 mai 2016)